S’y retrouver avec les acronymes des diagnostics immobiliers - 30/06/2017

Dans de nombreuses professions, on utilise un vocabulaire spécifique qui s’appuie souvent sur des acronymes. Le secteur des diagnostics immobiliers n’échappe pas à la règle. Pour vous aider à mieux comprendre, DIAGNOSTIPRO vous explique les principaux acronymes employés.

Les acronymes des diagnostics immobiliers

Plusieurs diagnostics sont fréquemment désignés par leur acronyme, y compris le dossier auquel ils sont intégrés et qui est joint aux baux et aux actes de vente. Celui-ci porte le nom de Dossier de Diagnostic Technique plus couramment appelé DDT.

C’est aussi le cas du DPE (Diagnostic de performance énergétique) dont l’objectif est d’évaluer la consommation d’énergie annuelle d’un bien immobilier.

Il est obligatoire avant une mise en vente ou une mise en location. L’acronyme ERNMT désigne l’État des Risques Naturels, Miniers et Technologiques qui doit être fourni aux locataires ou aux acquéreurs d’un logement pour leur indiquer l’existence d’un Plan de prévention des risques (PPR) ou d’autres menaces comme les tremblements de terre ou prochainement le radon.

Le diagnostic plomb est en revanche plus rarement appelé par sa véritable dénomination de CREP (pour Constat de risque d’exposition au plomb).

D’autres sigles fréquemment employés

Les termes RAAT et RAAD désigne respectivement le Repérage Amiante Avant Travaux et le Repérage Amiante Avant Démolition. Ces contrôles sont obligatoires pout tout chantier impliquant un bâtiment dont le permis de construire a été délivré avant le 1er juillet 1997.

Le Dossier Technique Amiante est un outil de suivi du risque amiante pour les copropriétés et les locaux professionnels. Il est souvent réduit à son acronyme DTA. Enfin, également pour les copropriétés, le DTG (Dossier Technique Global) vise à dresser un constat de l’état et de la situation financière afin d’améliorer la gestion des immeubles.